06 avril 2015

Réactions à l'article de La Pravda locale (en russe Правда)

Des frais de justice engagés contre LPB


LPB apprend par la "Pravda" locale (Lien) que Mister Bail demandait environ 15.000 € de remboursement des frais occasionnés par sa plainte contre Le Petit Bédouin.

Si le maire, voire certains de ses conseillers, se sont trouvés offensés par LPB il est étonnant qu'ils aient déjà engagé 15.000€ sans en avoir référé au conseil municipal ! Illégal avez-vous dit ? Plus surprenant encore ce sont les administrés de la commune qui doivent payer les frais avancés... et non les personnes censées avoir été attaquées !  

LPB un journal d'aigris !


D’autre part, LPB apprend qu'il est un journal dont les rédacteurs (le nombre réel n'est pas connu !) sont des aigris parce que battus aux dernières élections municipales ! Certes, ce journal n’aurait sans doute pas existé si la liste LEDRAN avait gagné les élections, hypothèse qui de toute façon ne semblait guère possible vu l’âge du capitaine et la faible campagne pré-électorale menée ! Donc rassurez-vous lecteurs... les rédacteurs de LPB sont sains d'esprit. Ce ne sont pas des assoiffés de vengeance ! Ce ne sont pas des revanchards ! Ils appartiennent à des univers politiques différents ! Qu'on se le dise .... si ce journal existe ...c’est parce que la gestion municipale pose problème ! 



Les faits sont là :

- Népotisme du maire qui a réussi à faire revenir son amie professeure des écoles de l’Orne dans le Calvados et, qui plus est ... à OUISTREHAM alors qu’elle ne pouvait absolument pas y prétendre vu son faible nombre de points ! Malgré les dénégations de Mister Bail qui n’avait, bien sur, «aucun piston»... il fut admis  (et prouvé) que c’est une décision politique, au-delà du Recteur, qui lui a permis d’obtenir ce poste. Il est vrai que le Recteur, en respectant les consignes venues d’en haut, aurait pu la nommer ailleurs qu’à OUISTREHAM et personne n’en aurait rien su ! Peut-être a-t-il, à sa façon, dénoncé une situation pour le moins anormale (hypothèse de bédouin !).

- Décision unilatérale, donc sans l’avis du conseil municipal qui ne sert ensuite que de bureau d’enregistrement, pour sponsoriser pour un minimum de 25.000 € le frère d’un célèbre navigateur dont le bateau s’est échoué au Sri Lanka.

- Décision unilatérale  pour renommer la commune OUISTREHAM-RIVA BELLA occasionnant des frais supplémentaires non négligeables (panneaux...). Et que dire du fait que  les autorités habilitées à prendre ces décisions (Préfecture, Conseil d’Etat) n’avaient pas été informées.

- Baisse des subventions aux associations.

- Suppression des classes de neige alors que celles-ci permettent un apprentissage de la vie en société et créent de la mixité sociale. Tout le monde demande un retour à un service national pour lier les gens entre eux, ces classes en sont une approche positive.

- Vente bradée du matériel communal...

On ne reparlera pas de la réfection du bureau, du coût des trois personnes recrutées par le maire… maintes fois cités...!
Eh oui lecteur...si ce journal existe ...c’est parce que la gestion municipale pose problème ! 

Un abus de démocratie !


Ce qui est également à noter est que Mister Bail parle d’abus de démocratie ! Il a pourtant défilé pour Charlie Hebdo, journal qui par ses caricatures attaquait tous les travers de la société. L’ex-président Sarkozy, pourtant plus que maltraité par Charlie Hebdo, participait au grand défilé parisien pour montrer son attachement à la démocratie. Et là, parce que ce petit journal ose dire que le maire agit souvent en autocrate dans les faits, se sert de OUISTREHAM pour ses intérêts personnels au lieu de servir OUISTREHAM, il porte plainte car il ne supporte pas les critiques... preuves à l’appui ! Quel démocrate !


Un seul tort, sans doute, celui d’avoir trop longtemps gardé l’anonymat ! Cela a permis à ces édiles d’y voir un «complot politique de gauche» alors que le but n’était que de dénoncer les dysfonctionnements d’une municipalité qui, de sociale sous le règne LEDRAN, dérive vers l'autoritarisme, l'arbitraire, le carriérisme personnel ...en aucun cas vers le service de la commune et de ses habitants.