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26 septembre 2015

Colère d'un bédouin


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Pouvons-nous tenir encore presque 5 ans ?
  • 5 ans à supporter un jeune prédateur qui se repaît de toutes les "facilités" que lui offre son statut de premier magistrat de la commune : carte de crédit, voyages divers à l'utilité douteuse pour la commune...
  • 5 ans à endurer ce qu'il faut bien appeler un exercice malsain du pouvoir : blessures morales, menaces en tous genres, procès, craintes infligées à des gens qui ne sont pas en état de se défendre...etc...
  • 5 ans pendant lesquels continueront à fleurir, si l'on peut dire, projets fumeux et célébrations aussi délirantes que déplacées...
  • 5 ans de mensonges ...

Dans notre tête de citoyen habitué à considérer le maire comme le fédérateur de la commune, celui qui représente et protège toutes les composantes de la population, c'est un choc dont nous ne nous sommes pas encore remis. Il y a des centaines de maires fédérateurs dans le Calvados mais pas à Ouistreham devenue une pétaudière, un bateau démâté servi par un équipage groggy, fouetté par un navigateur "allumé".

Que faire pour arrêter le massacre ? Ils sont nombreux les citoyens qui partagent notre malaise, cette espèce de révolte mâtinée de résignation saumâtre parce que nous n'avons pas encore trouvé "la fenêtre de tir" pour changer la donne et faire renaître l'espoir et la volonté de construire ensemble notre commune plus solidaire, plus joyeuse. 

Et bien, la rafale de décisions calamiteuses prises récemment par Romain Bail et sa clique (explosion des impôts locaux, tsunami de parkings payants....) a créé dans les esprits une rupture, un choc, un réveil. Trop c'est trop ! Bougeons-nous ! Manifestons bruyamment notre désaccord profond avec cette façon de gouverner notre ville ! Unissons-nous et signifions à l'UBU-maire que, désormais, nous bloquerons ses initiatives dangereuses et injustes par tous les moyens compatibles avec le droit des citoyens.

C'est maintenant qu'il faut agir !




Tous à la mairie pour manifester
notre colère et notre dégoût 


Lundi 28 septembre à 19 h 30